- Accueil
- Actualités
- Cultes
- Culte des Rameaux-Pierres vivantes-5 avril 2020
Culte des Rameaux-Pierres vivantes-5 avril 2020
Partage
[wpdevart_youtube]savZ7v3UgOo[/wpdevart_youtube]
avec les chants enregistrés par les pasteurs Marie-Pierre Van den Bossche et Hervé Gantz,.
Musique
[wpdevart_youtube]ZzfC56URTbU[/wpdevart_youtube]
Frères et sœurs,
En ce dimanche des Rameaux, ce dimanche qui célèbre l’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem, je vous adresse, de la part du Seigneur un message de grâce et de paix, pour chacun d’entre vous.
Ce culte est filmé au temple pour des raisons techniques autant que symboliques. Pour des raisons sanitaires, les jeunes qui liront les textes bibliques le feront de chez eux. Un petit montage est donc nécessaire. C’est pourquoi ce culte a été pré-enregistré.
Il était prévu que ce dimanche soit une journée Pierres vivantes et que ce culte soit intergénérationnel. Il s’adresse donc à chacun mais les chants ont été choisis dans un répertoire plus familier aux jeunes générations. J’espère que les plus anciens les apprécieront également.
Alors, venez, venez de chez vous, de là où vous êtes
Laisser votre cœur aller pour le célébrer.
Venez le célébrer en chantant :
cantique : 21/15 : Venez le célébrer
Je vous invite à la prière :
Seigneur, par ton Esprit , viens manifester ta présence vivante, au milieu de nous.
Permets que ta parole retentisse en nos coeurs.
Qu’elle ne reste pas lettre morte mais, au contraire, qu’elle prenne chair en nos vies pour la bénir et la rendre féconde. Amen
Matthieu 21.1-11 : HGZ
En approchant de Jérusalem, ils arrivèrent près du village de Bethphagé, sur le mont des Oliviers. Jésus envoya deux de ses disciples en leur disant : – Allez dans le village qui se trouve là devant vous. Dès que vous y serez, vous trouverez une ânesse attachée et, près d’elle, son petit. Détachez-les et amenez-les moi. Si quelqu’un vous fait une observation, vous n’aurez qu’à lui dire : « Le Seigneur en a besoin », et on vous les laissera prendre immédiatement. Tout cela arriva pour que se réalise la prédiction du prophète :
Dites à la communauté de Sion :
Voici ton Roi qui vient à toi; humble, il vient monté sur une ânesse, sur un ânon, le petit d’une bête de somme.
Les disciples partirent donc et suivirent les instructions de Jésus. Ils amenèrent l’ânesse et son petit et posèrent sur eux leurs manteaux, et Jésus s’assit dessus.
Une grande foule de gens étendirent leurs manteaux sur le chemin. D’autres coupèrent des branches aux arbres et en jonchèrent le chemin.
Et toute la foule, de la tête à la fin du cortège, criait :Hosanna au Fils de David !
Béni soit celui qui vient de la part du Seigneur !
Hosanna à Dieu au plus haut des cieux !
Quand Jésus entra dans Jérusalem, toute la ville fut en émoi. Partout on demandait : – Qui est-ce ?
Et la foule qui l’accompagnait répondait : – C’est Jésus le prophète, de Nazareth en Galilée.
Cantique : 51/16 : Roi des rois
Assurés de l’amour de Dieu en Jésus-Christ, nous reconnaissons notre péché.
silence
Combien étaient-ils ce matin-là, Seigneur, à se presser sur le bord de ton chemin, brandissant des palmes, étalant des manteaux sous les pattes de ton ânesse ?
Attirés par les cris, ils étaient de plus en plus nombreux à reprendre en chœur: « Hosanna au Fils de David! Béni! Bénit soit Celui qui vient au nom du Seigneur! »
Mais la foule qui aujourd’hui acclame Jésus comme le nouveau David, le Messie, demain demandera sa mort.
Anonyme, dans une foule, ne sommes-nous pas comme eux, prêt à condamner demain celui que nous honorons aujourd’hui ?
Là, cachée au milieu de la foule, notre violence peut enfin s’exprimer et la haine prendre le visage de l’autre, celui que quelques chefs du peuple nous montre du doigt.
Et le vainqueur d’hier, celui qui avait tous nos suffrages, que nous avons reçu comme un Roi, nous le condamnons maintenant.
Ses amis l’ont abandonné, leurs voix se sont tues, étouffés par les cris de cette foule qu’on a manipulée, ou par leur peur, la peur d’être aussi emporté par cette vague de mort.
Seigneur, où serons-nous demain, nous qui aujourd’hui t’acclamons comme le Messie ?
Aurons-nous le courage de te suivre jusqu’au bout de la nuit, de ta nuit, jusqu’à la Croix ?
Serons-nous là, à veiller encore, lorsque ta Lumière viendra nous réveiller, au matin du troisième jour, comme au jour de ton retour ?
Seigneur, pardonne nos erreurs, nos actes de violence verbale ou corporelle, et nos lâchetés.
Pardonne-nous aussi de succomber aux cris de haine.
Seigneur, viens au secours de notre incrédulité et de notre manque d’Amour! Amen.
Luc Serrano d’après un texte de la revue « Prier »
cantique: 12/07.1,2,3 : Tournez les yeux vers le Seigneur
Le Seigneur, l’Éternel, m’a donné une langue de disciple attentif pour que, par ma parole, je sache fortifier ceux qui sont fatigués.
Et il me fait tendre l’oreille matin après matin, afin que je l’écoute comme un disciple.
Le Seigneur, l’Éternel, a ouvert mon oreille, et moi, de mon côté, je n’ai pas résisté, je n’ai pas reculé.
J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient et j’ai tendu mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe.
Je n’ai pas caché mon visage à ceux qui m’insultaient et qui crachaient sur moi.
Le Seigneur, l’Éternel, viendra à mon secours : voilà pourquoi je ne suis pas confus, c’est pourquoi j’ai rendu ma face dure comme un caillou, car je le sais : je ne serai pas dans la honte.
Frères et sœurs,
Je vais vous raconter une histoire :
Des jumeaux dans le ventre de leur mère ont une conversation intéressante:
– Tu crois vraiment qu’il y a une vie après la naissance?
– Oui, bien sûr! Pour moi, c’est évident qu’il y a une vie après la naissance. Nous sommes en train d’être fortifiés et préparés pour ce qui nous attend là dehors.
– C’est vraiment stupide! Il ne peut y avoir aucune vie après la naissance. C’est de la fantaisie. Comment penses-tu que cette vie pourrait être?
– Eh bien! je ne connais pas les détails, mais je crois qu’il y aura plus de lumière et qu’on sera transformés. On pourrait imaginer qu’on se déplacera avec nos pieds et qu’on mangera avec nos bouches par exemple.
– Quelle blague! C’est n’importe quoi! Il est impossible de se déplacer avec nos pieds et de manger avec nos bouches. C’est ridicule, on a nos cordons ombilicaux qui nous nourrissent. Ecoute-moi: c’est impossible qu’il y ait quelque chose après la naissance, parce que notre vie est dans le cordon ombilical et que ce cordon est relativement court.
– Je suis sûr que c’est possible. Tout sera simplement différent. Mais on ne peut pas l’imaginer.
– Tu dois bien savoir que personne n’est jamais retourné d’ici. C’est certain que la naissance, c’est la fin de la vie. Et qu’est-ce que la vie au fait? Juste ce qu’on vit, ici, bien au chaud, tranquilles, dans le confinement d’où bientôt, il nous faudra sortir, faute de place.
– Non, non, je ne sais pas exactement comment notre vie sera après la naissance. Mais, de toute façon, on verra finalement notre mère et elle veillera sur nous.
– Quoi? Tu crois en maman? Où pourrait-elle bien être?
– Elle est toujours autour de nous. On est en elle et c’est grâce à elle qu’on vit. Sans elle, on n’existerait pas.
– C’est de la folie! Je n’ai jamais vu maman, alors c’est clair que, pour moi, elle n’existe pas.
– Je ne peux pas être d’accord avec toi. Parce que, de temps en temps, quand tout est silencieux, je peux l’entendre chanter et je peux sentir sa main qui me bénit. Je suis persuadé que la vie ça n’est pas seulement maintenant. Je crois qu’une vie plus ample, plus belle, une vie à inventer commence après la naissance.
Cette histoire parle de résurrection, bien évidemment. Elle cherche à nous faire comprendre pourquoi nous pouvons être incrédule et pourquoi aussi nous pouvons croire. Elle cherche à nous dire aussi que nous ne pouvons imaginer aujourd’hui de quoi cette vie après la mort sera faite car personne n’en est jamais revenu… sauf Jésus, bien sûr. Mais Jésus, il a vécu il y a plus de 2000 ans et il n’est pas apparu à tout le monde. Il est donc difficile de croire sans voir…
Il y a quelque chose de très important qui n’est pas raconté dans cette histoire, c’est l’accouchement. Avant l’accouchement, tout va bien, ou presque, pour les bébés au chaud dans le ventre de leur maman. Il est vrai qu’il peut arriver des accidents, que la vie n’est pas toujours garantie, que des maladies, des malformations, la mort même, peuvent survenir. Pour la maman, la grossesse n’est pas toujours non plus évidente. Mais, ce qui est sûr, c’est que la maman, comme le papa, comme tous les proches, attendent la naissance avec une véritable impatience. Pourtant, chacun sait que, pour la maman, l’accouchement peut être une véritable épreuve, une épreuve et une délivrance. Tout comme pour les bébés d’ailleurs… On pense rarement à l’épreuve que doit être, pour eux, l’accouchement. Personne ne s’en souvient plus, de même qu’il ne se souvient plus de la vie intra-utérine et de sa toute petite enfance, peut-être parce que ce serait trop de souffrance à supporter pour aller vers la vie…
Lorsque Jésus entre à Jérusalem, il est acclamé comme un roi et pourtant, il sait lui, qu’il va beaucoup souffrir et être mis à mort. La foule ne le sait pas, elle. Elle attend un libérateur, un sauveur et Jésus paraît être cet homme providentiel. Cette foule est présente, tout comme Jésus, pour célébrer la Pâque. La Pâque juive commémore la sortie d’Egypte. Les enfants et les ados connaissent certainement tous ce dessin animé qui s’appelle « le prince d’Egypte » et qui raconte l’histoire de Moïse. La Pâque, c’est ce moment où Pharaon va finalement céder et permettre au peuple hébreu de sortir d’Egypte où il est esclave pour aller adorer Dieu. C’est la joie pour les hébreux. Il leur faut beaucoup de foi pour oser franchir la frontière. Et cette foi leur permet de franchir des obstacles insurmontables ; la mer des difficultés s’ouvre devant eux et les voilà arrivés au désert, sur le chemin de la terre promise. C’est l’euphorie, peut-être la même euphorie que celle de la foule qui accueille Jésus à Jérusalem. Sauf que… sauf que… le voyage n’est pas terminé. Le peuple hébreu va tourner en rond dans le désert durant 40 ans ! 40 ans ! Pourquoi ? Parce qu’il a peur, il a peur de ce qu’il va trouver dans ce pays promis. Il a peur de la liberté qui le rend responsable de ses actes et souvent, il demande à retourner en esclavage en Egypte. On sait ce qu’on quitte mais on ne sait pas vers quoi on va… On aimerait que tout se passe bien, sans souffrance, sans douleur. Mais il n’y a pas de vie, ni même de vie éternelle, sans passer par cette souffrance et cette douleur. Jésus le sait bien, lui. Mais cette foule et même ses disciples ne le savent pas, ou plutôt, ils ne veulent pas y croire, ils ne veulent pas le voir. Jésus les a pourtant prévenus. Or, à l’heure de son arrestation, de sa torture, il sera seul et cette même foule qui l’avait acclamée réclamera désormais sa mort. Pourquoi, parce qu’elle a peur, peur comme le peuple hébreu dans le désert, peur comme ce jumeau dans le ventre de sa mère. Elle a peur de mourir. Et vous savez combien de temps un bébé reste dans le ventre de sa mère avant de naître ? 40 semaines. Voilà le temps de la grossesse. 40 semaines, comme les 40 ans d’errance du peuple hébreu dans le désert, comme les 40 jours que dure le carême et comme… la quarantaine que nous devons observer lorsque nous sommes atteints d’un virus très contagieux…
Alors, frères et sœurs, nous voici confinés, un peu comme les jumeaux, un peu comme ce peuple dans le désert, et peut-être aussi comme Jésus durant ce temps d’arrestation de torture, de mort, comme Jésus dans le tombeau. Et je ne peux résister au plaisir de vous montrer cette image humoristique qui ma paraît tout à fait à propos.
Un jour, nous sortirons, mais comment ? Est-ce que ce temps de confinement aura été vraiment mis à profit pour redécouvrir l’essentiel, comme Jonas le fit dans le ventre du poisson ? Quel est notre essentiel ? Qu’est-ce qui donne un sens à notre vie ? La relation familiale, la prière, la lecture de la Bible, la réflexion, la fraternité, la solidarité… Est-ce que ce temps de confinement nous aura permis de réfléchir au monde que nous voulons bâtir, construire ? Quelle terre voulons nous promettre à nos enfants, petits-enfants ? Allons-nous repartir comme avant ? Allons-nous recommencer à nous activer comme un petit hamster dans sa roue, qui prend certes du plaisir à le faire mais pour aller nulle part ? Ou bien allons-nous résister, penser à demain, même s’il cela nous en coûtera en confort de vie, en sécurité matérielle, en tranquillité ?
Frères et sœurs, oui ! Vivons la vie, là, maintenant, telle qu’elle nous est offerte, pour la plupart d’entre nous, dans le confinement, pour penser à demain. Car, ce temps nous le fait comprendre, nous ne pouvons continuer à avancer, à agir comme nous le faisons depuis toujours, même si cela a un coût. Une autre vie est à inventer. La résurrection, ça commence aujourd’hui lorsque nous choisissons la vie, telle qu’elle est, en vérité ! Amen !
Musique
[wpdevart_youtube]Y58xUeQRwJ8[/wpdevart_youtube]
Certes, le secrétariat est fermé et les activités de notre Église ont été suspendues. Mais le Corona virus ne nous empêche pas de vivre l’Evangile et d’être en communion les uns avec les autres, par Christ Jésus. Les moyens de communications que sont internet et le téléphone nous y aident bien. Néanmoins si vous apprenez qu’une personne de notre paroisse a besoin de quoi que ce soit, visite téléphonique, lecture de la Bible, courses, merci de nous en informer, mes collègues et moi, ou bien un membre du CP, de préférence par mail…
Cet après-midi, les ados de l’Eglise se réuniront par vidéo-conférence pour une séquence kt, tandis que les enfants de l’éveil et de l’école biblique restent en lien régulier grâce à l’engagement de tous les catéchètes.
Le premier mardi du mois a lieu habituellement la prière de midi. Nous allons mettre en place une prière en téléconférence, d’une demi-heure et verrons ensemble si nous le renouvelons plus souvent et sous quel format. Une boîte à intentions de prière sera mise à votre disposition sur le site internet pour que vous puissiez confier vos intentions.
Nous avons la tristesse de vous annoncer le décès de Mme Nadine Amalric, survenu ce mardi, à l’EHPAD du Rozat à St Ismier. Veuve de Jean Amalric, Nadine a été très engagée dans la paroisse, notamment dans le lien communautaire. Elle était la mère de Françoise Amalric et la belle -mère de Marianne Brondel-Amalric.
Compte tenu des impératifs actuels, elle a été incinérée dans la stricte intimité familiale et un culte d’action de grâce sera célébré lorsque ce sera possible.
À Grenoble, depuis longtemps, le culte des Rameaux est aussi le culte d’offrande annuelle du Diaconat. Alors que nous fêtons l’entrée triomphale de Jésus dans Jérusalem en fête, nous nous souvenons ainsi qu’il a conduit son ministère essentiellement auprès des malades, des humbles, des estropiés de la vie. Vous pouvez envoyer un chèque à l’ordre du diaconat et l’envoyer 2 rue Fourier 38000 Grenoble ou faire un don en ligne sur le site du diaconat-grenoble.org.
cantique:33/31 Hosanna – Exo
O Esprit Saint de Dieu qui, de ton souffle, purifie le cœur et l’esprit de ton peuple, le réconfortant quand il est dans la tristesse, le ramenant sur son chemin quand il s’en écarte, le réchauffant quand il a froid, le rassemblant quand il est désuni, l’enrichissant de dons multiples.
Toi qui fais vivre toute chose, nous te supplions de nous préserver et de nous enrichir chaque jour des dons que tu daignes nous accorder ; qu’avec ta lumière devant et en nous, nous puissions traverser le monde sans achoppement et sans errance.
A notre tour, humblement, nous donnons une petite part de tes bienfaits, pour que vive Ta Parole dans l’Eglise. Amen
cantique: Mon ancre, ma voile
Nous nous unissons dans la prière :
Dieu de Vie, nous nous tenons devant toi pour demander espoir et confiance, et pour trouver courage et direction face à l’ombre de la maladie qui plane sur notre monde.
Avec des millions d’autres, nous sommes confrontés à notre fragilité et nous perdons d’un coup le contrôle sur nos routines habituelles, nos plans et nos projets.
Un temps pour nous recentrer sur toi, un temps pour t’écouter. Accompagne-nous sur le chemin.
Nous prions non seulement pour nous-mêmes, mais pour tous ceux et celles qui ont le plus besoin de ta force ces jours-ci : les personnes dans nos sociétés qui tombent malades, qui sont submergés par la peur, qui souffrent de l’isolement, qui se font des soucis pour leurs proches, qui craignent pour leur travail et leur revenu.
Nous prions pour le personnel soignant dans toutes les institutions, pour les gouvernements qui ont des décisions difficiles à prendre, pour nos communautés de foi.
Que ton message, Oh Dieu, de Vie nous montre le chemin. Amen.
Silence
Et comme Jésus nous l’a appris, ensemble, nous disons :
Notre Père
Qui es aux cieux
Que ton nom soit sanctifié
Que ton règne vienne
Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour
Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés et ne nous laisse pas entrer en tentation mais délivre-nous du mal
Car c’est à toi qu’appartiennent le règne, la puissance et la gloire pour les siècles des siècles. Amen.
Frères et sœurs, les enfants, nous allons entrer dans le temps de la Pâque, avec ce qu’on appelle, la semaine sainte. Avant la bénédiction de vous invite à regarder ce film d’animation qui nous rappelle ce qui se passe après l’entrée triomphante de Jésus à Jérusalem.
Un jour, nous sortirons de nos retraites mais pour quelle vie ?
Sachant que rien ne pourra jamais nous séparer de l’amour de Dieu, manifesté en Jésus-Christ, nous pouvons, avec confiance, regarder vers un avenir que nous ne connaissons pas mais qui reste à construire, à imaginer, à transformer.
Alors, allons, le Seigneur est notre force.
Nombres 6 :23-26
Le Seigneur vous bénit et vous garde.
Le Seigneur fait resplendir sur vous sa lumière et vous accorde sa grâce.
Le Seigneur tourne sa face vers vous et vous donne la paix! Alleluia !
cantique: Chaîne d’amour
Musique
[wpdevart_youtube]8JNCS27rtQ8[/wpdevart_youtube]